J'apprecie cette demarche et je suis tres contente d'acheter des produits elabore aux fermes locales - mais j'aimerais voir aussi toute transparence sur les pratiques d'elevage parce que le bien-etre animal m'interesse autant que la qualite du produit, le gout et le respect de l'environnement. Merci pour les clarifications sur ce sujet.
Le lundi 10 octobre 2011 à 17:47 par
voilà quelques informations sur le cheptel de Philippe Ridet et l'alimentation de ses vaches.
Le cheptel est composé d’une centaine de têtes, de race Montbéliarde et Prim’holstein. Quarante-quatre vaches laitières sont traites chaque jour : elles produisent 315 000 litres de lait par an, dont la plupart sont transformés sur l’exploitation. En complément de son activité d’élevage, Monsieur RIDET exploite 55 ha de la façon suivante :?- 15 ha de céréales,?- 16,5 ha de surface fourragère, (40 pour les vaches : luzerne -13- et prairie)- - 60 arhes de betteraves fourragères Monsieur RIDET souhaite conserver la pureté de son troupeau. Jusqu’en 2006, la reproduction a été réalisée par insémination artificielle mais elle est depuis 2007 assurée par trois taurillons. En 2007, Monsieur RIDET a modifié l’alimentation de son troupeau. Les vaches sont au près toute l'année et se nourrissent donc de l'herbe qui les entoure. Les "compléments" à cette nourriture fraîche était initialement réalisée à base de maïs ensilé. Depuis 2007, il opte donc pour une ration sèche « faite maison », composée de foins de luzerne et de de pré et céréales produites sur l’exploitation (ration d'hiver), de tourteaux de colza fermier et de soja, et de pulpes sèches. En conséquence, il a choisi de diminuer petit à petit la surface en céréales au profit de la surface fourragère qu’il augmente peu à peu. Les yaourts sont faits au jour le jour, à la main, par Philippe Ridet, avec le lait du jour. Toute l'attention portée aux vaches, à leur alimentation, puis au lait et à sa transformation artisanale, sont autant de gages de qualités. Nous attachons nous aussi une importance toute particulière à cet aspect.
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Merci pour les clarifications sur ce sujet.
Le cheptel est composé d’une centaine de têtes, de race Montbéliarde et Prim’holstein. Quarante-quatre vaches laitières sont traites chaque jour : elles produisent 315 000 litres de lait par an, dont la plupart sont transformés sur l’exploitation.
En complément de son activité d’élevage, Monsieur RIDET exploite 55 ha de la façon suivante :?- 15 ha de céréales,?- 16,5 ha de surface fourragère, (40 pour les vaches : luzerne -13- et prairie)- - 60 arhes de betteraves fourragères
Monsieur RIDET souhaite conserver la pureté de son troupeau. Jusqu’en 2006, la reproduction a été réalisée par insémination artificielle mais elle est depuis 2007 assurée par trois taurillons.
En 2007, Monsieur RIDET a modifié l’alimentation de son troupeau.
Les vaches sont au près toute l'année et se nourrissent donc de l'herbe qui les entoure.
Les "compléments" à cette nourriture fraîche était initialement réalisée à base de maïs ensilé. Depuis 2007, il opte donc pour une ration sèche « faite maison », composée de foins de luzerne et de de pré et céréales produites sur l’exploitation (ration d'hiver), de tourteaux de colza fermier et de soja, et de pulpes sèches.
En conséquence, il a choisi de diminuer petit à petit la surface en céréales au profit de la surface fourragère qu’il augmente peu à peu.
Les yaourts sont faits au jour le jour, à la main, par Philippe Ridet, avec le lait du jour.
Toute l'attention portée aux vaches, à leur alimentation, puis au lait et à sa transformation artisanale, sont autant de gages de qualités.
Nous attachons nous aussi une importance toute particulière à cet aspect.